Ennemies by Hyrgal Lyrics
Novembre se meurt, écarlate, au son du tocsin
Dans un bruyant dimanche de funérailles
Où couardes grises mines se révulsent sous une pluie de plomb
Crachée d'un feu céleste
Irrévérence flagellée, foule domptée au clairon
Zéphyr hurle et danse sur les derniers espoirs
Courtisant des cordes raides, valsant
Sous le fracas des orages colériques
Alors ne reste que la course des loups dans la nuit
Les odes de vermeil sur les ronces
Les berceuses des affres nocturnes
Où les chairs pleurent leurs affronts
Lune grivoise aux gants de glace
Baiser fatal, crachin de venin
Cœur féral et volte-face
En dernière nuit, une morne éclipse, celle des remords, sème la mort
Verdandi en suspend, tisseuse des destins en disgrâce
Rompt les liens de vie des corps célestes
Et s'effondre alors dans la pâleur d'un matin de guigne
Les carcasses molestées des ascètes
Dernier mouvement d'échines
Sous l’œil vicié du nouveau Roi
Au son des nocturnes tristes et Odes placides
Et en acte de foi, aux astres, au néant
Répand au vide, dans une glaire d'acide
Les restes damnés, les souvenirs
Et l'âme souillée des ennemi(e)s
Dans un bruyant dimanche de funérailles
Où couardes grises mines se révulsent sous une pluie de plomb
Crachée d'un feu céleste
Irrévérence flagellée, foule domptée au clairon
Zéphyr hurle et danse sur les derniers espoirs
Courtisant des cordes raides, valsant
Sous le fracas des orages colériques
Alors ne reste que la course des loups dans la nuit
Les odes de vermeil sur les ronces
Les berceuses des affres nocturnes
Où les chairs pleurent leurs affronts
Lune grivoise aux gants de glace
Baiser fatal, crachin de venin
Cœur féral et volte-face
En dernière nuit, une morne éclipse, celle des remords, sème la mort
Verdandi en suspend, tisseuse des destins en disgrâce
Rompt les liens de vie des corps célestes
Et s'effondre alors dans la pâleur d'un matin de guigne
Les carcasses molestées des ascètes
Dernier mouvement d'échines
Sous l’œil vicié du nouveau Roi
Au son des nocturnes tristes et Odes placides
Et en acte de foi, aux astres, au néant
Répand au vide, dans une glaire d'acide
Les restes damnés, les souvenirs
Et l'âme souillée des ennemi(e)s