Le jour dun soleil éteint by Ginosaa Collaboration Lyrics
[Couplet 1 : Kyo'Kn]
Le soleil se lève pour éclairer la pièce
Et ses rayons me rappelle que c'est la fin de ma sièste
J'agrippe un fond de teil de charette
Cette merde un jour faudrait que j'arrête
Mais y'a tellement rien à faire à la Farlède
Donc je pose les bails métamorphose
Débute la bataille pour notre cause
Écrase les wacks puis fuck les tass
Les crasses de l'état j'en est ma dose
Parlons sérieux parlons bien
Garçon soyeux aux cheveux bruns
Veut faire du sei-llo
Pour mettre sa mif et ses frèros plus que bien
J'en est ma claque car le système rend dingue
Se lever à 5 h du matin pour un fils de timp
Être un mec bien
N'a plus aucun intérêt
Tu te fais tellement marcher dessus que tu fini enterré
J'ai préférer m'amuser sur le cro-mi puis raconter ma vie
J'écris des rimes pour grimper en haut de l'affiche
Envois les faux au tapis
Moi sur l'instru je patine
Et pour percer dans l'son ne crois pas que dans mon équipe
On tapine
J'ai la dale
Pas celle qu'on cale avec un gros tajine
J'ai la dale
C'est ce qui me donne la rage de vivre
J'éssaye de tuer le temps
Bien qu'il soit très coriace
Sur le chemin des emmerdes je me balade de liane en liane
Des liasses par centaines ca pousse pas comme des
Crysanthème mais je fais tout pour que mes thèmes soit
Capter par toute les antennes
Moustachu comme un dictateur mes le son à fond n'ai pas peur
Je veux voir tes caissons trembler comme un gosse qui à peur
La chaleur du Sud en a fracassé plus d'un
La folie s'élève dans nos esprits comme l'envie de fric pour une quatin
J'ai vu personne depuis une semaine
Quitte à voir des morts vivants
Autant té-ma The Walking Dead c'est plus divertissant
Cherche pas l'amour est mort en bas
J'aimerais te dire qu'ils m'auront pas mais personne n'est à l'abris de coups bas
J'dois bosser dur
Car de mauvaises augures me tournent autours et pourraient
Creuser ma sépulture
J'dois bosser dur
Je le répète sans peine
J'dois bosser dur
Sinon comment être fier de la vie que je mène
[Couplet 1 : Yung Achaa]
J'passe mon temp à creuser le passé, au lieu de crever le futur
À réouvrir de veille suture, a force de trop entassé
Tu sait ce que c'est, n'est-ce pas, non je ne t'apprend rien
Compatible avec ce vécu autant que feu Nesta et la drogue d'Espagne
Je veut le calme, même si sa doit me niqué la santé
Accro à la clope comme à la came, la vérité une rote'ca a clé à la craie
L'amour, ne s'achète pas comme du crack en sachet
À part son substitue, tard le soir dans Toulon qui ce prostitue
Si si ici les frères titubes sous l'emprise d'la 8.6
Chacun son plaisir et son vice pour éviter de peter un câble
Oue combien on perdu, et on rêver de tout recommencer
Si ça m'arrive j'me réconforterai dans l'idée que j'suis pas tout seul
Oue j'ai une vie de rêve mais j'suis aveuglé par des visions sale
J'ai peur d'finir plus bas que le sol, j'emmerde mon manque de courage
Vivre au jour le jour est-ce que ça marche, est-ce que ça change
Moi j'me projète dans un futur mais qui n'est pas le mien
C'est quoi le mieux, un 25 milligrammes ou une prière
Beaucoup trop de choix pour une seule sortie en espérant que demain ne soit pas hier
Aimé pour haïr, partir pour ailleurs la volonté de Dieux est loin d'un fusils mitrailleur
Les fleurs s'assèche comme le coeur des hommes
Les larmes ne font que coulés, pourpre est la couleur sous la pression et le poids des âmes
Les pats des amies, qui effaces les miens (oue), moi j'suis qu'un damnés, qui cherche le bon chemin pour y mettre les pieds
Les gens changent et moi aussi caractère de saison
Et bonhommes j'était déjà majeur même avant mes 16ans
J'ai un panel de peines et d'qualités caché comme la ce'fa a Nepal
J'prie pour l'jour, ou mon air deviendra létal
J'ai le regard vide mais le coeur rempli de milliers de sentiment
Le ble'dia rode et il me talonne juste de quelque centimètre
Embrasser son amour, et s'oublier quelque instants
Sa m'fait peur quand ils décrivent le paradis comme un grammes d'exta
Le malin dans nos veines depuis tout petit nous dévorent, sans aucun effort
Vue qu'on bois son venin dans nos verres
La lune est flamboyante tel le regard d'un canidé la nuit
J'partirais comme je suis venue le jour d'un soleil éteint
Le soleil se lève pour éclairer la pièce
Et ses rayons me rappelle que c'est la fin de ma sièste
J'agrippe un fond de teil de charette
Cette merde un jour faudrait que j'arrête
Mais y'a tellement rien à faire à la Farlède
Donc je pose les bails métamorphose
Débute la bataille pour notre cause
Écrase les wacks puis fuck les tass
Les crasses de l'état j'en est ma dose
Parlons sérieux parlons bien
Garçon soyeux aux cheveux bruns
Veut faire du sei-llo
Pour mettre sa mif et ses frèros plus que bien
J'en est ma claque car le système rend dingue
Se lever à 5 h du matin pour un fils de timp
Être un mec bien
N'a plus aucun intérêt
Tu te fais tellement marcher dessus que tu fini enterré
J'ai préférer m'amuser sur le cro-mi puis raconter ma vie
J'écris des rimes pour grimper en haut de l'affiche
Envois les faux au tapis
Moi sur l'instru je patine
Et pour percer dans l'son ne crois pas que dans mon équipe
On tapine
J'ai la dale
Pas celle qu'on cale avec un gros tajine
J'ai la dale
C'est ce qui me donne la rage de vivre
J'éssaye de tuer le temps
Bien qu'il soit très coriace
Sur le chemin des emmerdes je me balade de liane en liane
Des liasses par centaines ca pousse pas comme des
Crysanthème mais je fais tout pour que mes thèmes soit
Capter par toute les antennes
Moustachu comme un dictateur mes le son à fond n'ai pas peur
Je veux voir tes caissons trembler comme un gosse qui à peur
La chaleur du Sud en a fracassé plus d'un
La folie s'élève dans nos esprits comme l'envie de fric pour une quatin
J'ai vu personne depuis une semaine
Quitte à voir des morts vivants
Autant té-ma The Walking Dead c'est plus divertissant
Cherche pas l'amour est mort en bas
J'aimerais te dire qu'ils m'auront pas mais personne n'est à l'abris de coups bas
J'dois bosser dur
Car de mauvaises augures me tournent autours et pourraient
Creuser ma sépulture
J'dois bosser dur
Je le répète sans peine
J'dois bosser dur
Sinon comment être fier de la vie que je mène
[Couplet 1 : Yung Achaa]
J'passe mon temp à creuser le passé, au lieu de crever le futur
À réouvrir de veille suture, a force de trop entassé
Tu sait ce que c'est, n'est-ce pas, non je ne t'apprend rien
Compatible avec ce vécu autant que feu Nesta et la drogue d'Espagne
Je veut le calme, même si sa doit me niqué la santé
Accro à la clope comme à la came, la vérité une rote'ca a clé à la craie
L'amour, ne s'achète pas comme du crack en sachet
À part son substitue, tard le soir dans Toulon qui ce prostitue
Si si ici les frères titubes sous l'emprise d'la 8.6
Chacun son plaisir et son vice pour éviter de peter un câble
Oue combien on perdu, et on rêver de tout recommencer
Si ça m'arrive j'me réconforterai dans l'idée que j'suis pas tout seul
Oue j'ai une vie de rêve mais j'suis aveuglé par des visions sale
J'ai peur d'finir plus bas que le sol, j'emmerde mon manque de courage
Vivre au jour le jour est-ce que ça marche, est-ce que ça change
Moi j'me projète dans un futur mais qui n'est pas le mien
C'est quoi le mieux, un 25 milligrammes ou une prière
Beaucoup trop de choix pour une seule sortie en espérant que demain ne soit pas hier
Aimé pour haïr, partir pour ailleurs la volonté de Dieux est loin d'un fusils mitrailleur
Les fleurs s'assèche comme le coeur des hommes
Les larmes ne font que coulés, pourpre est la couleur sous la pression et le poids des âmes
Les pats des amies, qui effaces les miens (oue), moi j'suis qu'un damnés, qui cherche le bon chemin pour y mettre les pieds
Les gens changent et moi aussi caractère de saison
Et bonhommes j'était déjà majeur même avant mes 16ans
J'ai un panel de peines et d'qualités caché comme la ce'fa a Nepal
J'prie pour l'jour, ou mon air deviendra létal
J'ai le regard vide mais le coeur rempli de milliers de sentiment
Le ble'dia rode et il me talonne juste de quelque centimètre
Embrasser son amour, et s'oublier quelque instants
Sa m'fait peur quand ils décrivent le paradis comme un grammes d'exta
Le malin dans nos veines depuis tout petit nous dévorent, sans aucun effort
Vue qu'on bois son venin dans nos verres
La lune est flamboyante tel le regard d'un canidé la nuit
J'partirais comme je suis venue le jour d'un soleil éteint