Nostalgie by Gerry Boulet Lyrics
Tu m’criais qu’tu m’suivrais tout l’temps
À chaque instant
Pis que ça serait pour la vie
Tu m’as juré que ça devait durer tout l’temps
Mais là c’est presque fini
Hier encore tu tricotais dans mes nuages
Sans problèmes, sans soucis avec
Tes fantaisies qui déraillent
Tu m’promettais d’rester
Même si j’étais pas sage
J’te sentais vibrer sous ma peau
Ah! oui mais aujourd’hui
T’es comme le temps qui fuit
On dirait que tu m’oublies
Tu t’souviens-tu, ça fait pas si longtemps
On se d’mandait jusqu’où même la folie
L’amour c’tait comme un fleuve
Qui changeait d’lit souvent
Le long des jours, le long des nuits
J’sais pu si faut toujours se battre
Pour pas rendre les armes
S’y faut garder en joue la vie, même si
C’est jusse pour la garder
Et pis même si faire feu déclenche
Le signal d’alarme
C’est beau d’sentir la nostalgie qui t’envahit
Comme d’la chaleur de larme
Chaleur de larme
Même si tu pense que l’temps fait rage
Après le gaspillage
Qu’aussitôt fait aussitôt dit, c’est déjà fini
Qué c’est qui m’reste de toé
Ma folle jeunesse
Au flou visage
Un flot d’paroles, une voix qui craque
Sombre héritage
Soupir de nostalgie
Qui vague-à-l’âme dans la nuit
À chaque instant
Pis que ça serait pour la vie
Tu m’as juré que ça devait durer tout l’temps
Mais là c’est presque fini
Hier encore tu tricotais dans mes nuages
Sans problèmes, sans soucis avec
Tes fantaisies qui déraillent
Tu m’promettais d’rester
Même si j’étais pas sage
J’te sentais vibrer sous ma peau
Ah! oui mais aujourd’hui
T’es comme le temps qui fuit
On dirait que tu m’oublies
Tu t’souviens-tu, ça fait pas si longtemps
On se d’mandait jusqu’où même la folie
L’amour c’tait comme un fleuve
Qui changeait d’lit souvent
Le long des jours, le long des nuits
J’sais pu si faut toujours se battre
Pour pas rendre les armes
S’y faut garder en joue la vie, même si
C’est jusse pour la garder
Et pis même si faire feu déclenche
Le signal d’alarme
C’est beau d’sentir la nostalgie qui t’envahit
Comme d’la chaleur de larme
Chaleur de larme
Même si tu pense que l’temps fait rage
Après le gaspillage
Qu’aussitôt fait aussitôt dit, c’est déjà fini
Qué c’est qui m’reste de toé
Ma folle jeunesse
Au flou visage
Un flot d’paroles, une voix qui craque
Sombre héritage
Soupir de nostalgie
Qui vague-à-l’âme dans la nuit