Song Page - Lyrify.me

Lyrify.me

La route est longue by Garizim Lyrics

Genre: rap | Year: 2011

Ref
La route est longue les coeurs s'effondrent
La peur détruit tous nos efforts ferme les yeux 
Il nous prendra sur ses épaules

À bout de bras je vous porterai à l'encre indélébile marquerai 
Les murs les noms des vraies victimes recule devant rien reste 
Debout vois au loin les portes s'ouvrent moralement les plus forts 
Manquent de souffle joue nos âmes et parie nos vies sans amours
Ferme les yeux ce monde est orageux trop rageux il est habile comme un 
Scalpel dans tes cheveux nous a mis en sourdine pour ne pas 
Qu'on crie qu'on est tous libre besoin d'une révolution nous écarter 
De leur direction milite pour ta conscience pour pas dévier de la 
Connaissance je représente tous les exclus les têtes lucide les 
Plus libres les mecs du livre qui s'écartent des mecs stupides ils 
Voudraient qu'on reste débiles pharisiens cupides l'amour délivre et 
La peur présente ses éponymes plus de naïveté depuis que j'ai vu 
Béatrice martin se dénuder cette pornographie tue notre belle sexualité 
Besoin de mes anarchistes vous priver de vos rangs sociaux 
Anticaritatifs qu'on me crache au visage qu'on marche la vie sache 
Que l'effort coulera encore et encore et encore et encore qu'on me tende 
La corde rebel et fort jusqu'à ma mort
Ref

La route est longue et longue je dirais même qu'elle monte et 
Monte nous présente tellement de démons aucune table sociale 
Chacun pour soit  aucune main tendue la peur de l'autre nous coupe 
Les doigts chacun se dit pas cette fois les montagnes ne bougent pas 
Parait que je n'ai pas cette foi besoin d'aide d'un brave et 
Prolétariat éloigne-moi de ton fric sal sans 
Odeur parait-il il tache les consciences et les paralyse dans vos dons fera des 
Prouesses foutaise besoin d'action m'a dit henri grouès il n'y a de 
Remède offrez vos lits douillets puis que j'y reste si l'amour de soi 
Est un complexe arrêtez le combat jamais on entre dans des temps 
Hard devant  moi j'ai l'étendard et puis la peur est un césar qui de son 
Pouce nous écrase créativité mise à l'écart et que ses 
Airs jouent au beaux-arts que des symphonies d'amour nous pètent au 
Visage à la mozart videz les barillets et que les canons fassent germer les mimosas