La route est longue by Garizim Lyrics
Ref
La route est longue les coeurs s'effondrent
La peur détruit tous nos efforts ferme les yeux
Il nous prendra sur ses épaules
À bout de bras je vous porterai à l'encre indélébile marquerai
Les murs les noms des vraies victimes recule devant rien reste
Debout vois au loin les portes s'ouvrent moralement les plus forts
Manquent de souffle joue nos âmes et parie nos vies sans amours
Ferme les yeux ce monde est orageux trop rageux il est habile comme un
Scalpel dans tes cheveux nous a mis en sourdine pour ne pas
Qu'on crie qu'on est tous libre besoin d'une révolution nous écarter
De leur direction milite pour ta conscience pour pas dévier de la
Connaissance je représente tous les exclus les têtes lucide les
Plus libres les mecs du livre qui s'écartent des mecs stupides ils
Voudraient qu'on reste débiles pharisiens cupides l'amour délivre et
La peur présente ses éponymes plus de naïveté depuis que j'ai vu
Béatrice martin se dénuder cette pornographie tue notre belle sexualité
Besoin de mes anarchistes vous priver de vos rangs sociaux
Anticaritatifs qu'on me crache au visage qu'on marche la vie sache
Que l'effort coulera encore et encore et encore et encore qu'on me tende
La corde rebel et fort jusqu'à ma mort
Ref
La route est longue et longue je dirais même qu'elle monte et
Monte nous présente tellement de démons aucune table sociale
Chacun pour soit aucune main tendue la peur de l'autre nous coupe
Les doigts chacun se dit pas cette fois les montagnes ne bougent pas
Parait que je n'ai pas cette foi besoin d'aide d'un brave et
Prolétariat éloigne-moi de ton fric sal sans
Odeur parait-il il tache les consciences et les paralyse dans vos dons fera des
Prouesses foutaise besoin d'action m'a dit henri grouès il n'y a de
Remède offrez vos lits douillets puis que j'y reste si l'amour de soi
Est un complexe arrêtez le combat jamais on entre dans des temps
Hard devant moi j'ai l'étendard et puis la peur est un césar qui de son
Pouce nous écrase créativité mise à l'écart et que ses
Airs jouent au beaux-arts que des symphonies d'amour nous pètent au
Visage à la mozart videz les barillets et que les canons fassent germer les mimosas
La route est longue les coeurs s'effondrent
La peur détruit tous nos efforts ferme les yeux
Il nous prendra sur ses épaules
À bout de bras je vous porterai à l'encre indélébile marquerai
Les murs les noms des vraies victimes recule devant rien reste
Debout vois au loin les portes s'ouvrent moralement les plus forts
Manquent de souffle joue nos âmes et parie nos vies sans amours
Ferme les yeux ce monde est orageux trop rageux il est habile comme un
Scalpel dans tes cheveux nous a mis en sourdine pour ne pas
Qu'on crie qu'on est tous libre besoin d'une révolution nous écarter
De leur direction milite pour ta conscience pour pas dévier de la
Connaissance je représente tous les exclus les têtes lucide les
Plus libres les mecs du livre qui s'écartent des mecs stupides ils
Voudraient qu'on reste débiles pharisiens cupides l'amour délivre et
La peur présente ses éponymes plus de naïveté depuis que j'ai vu
Béatrice martin se dénuder cette pornographie tue notre belle sexualité
Besoin de mes anarchistes vous priver de vos rangs sociaux
Anticaritatifs qu'on me crache au visage qu'on marche la vie sache
Que l'effort coulera encore et encore et encore et encore qu'on me tende
La corde rebel et fort jusqu'à ma mort
Ref
La route est longue et longue je dirais même qu'elle monte et
Monte nous présente tellement de démons aucune table sociale
Chacun pour soit aucune main tendue la peur de l'autre nous coupe
Les doigts chacun se dit pas cette fois les montagnes ne bougent pas
Parait que je n'ai pas cette foi besoin d'aide d'un brave et
Prolétariat éloigne-moi de ton fric sal sans
Odeur parait-il il tache les consciences et les paralyse dans vos dons fera des
Prouesses foutaise besoin d'action m'a dit henri grouès il n'y a de
Remède offrez vos lits douillets puis que j'y reste si l'amour de soi
Est un complexe arrêtez le combat jamais on entre dans des temps
Hard devant moi j'ai l'étendard et puis la peur est un césar qui de son
Pouce nous écrase créativité mise à l'écart et que ses
Airs jouent au beaux-arts que des symphonies d'amour nous pètent au
Visage à la mozart videz les barillets et que les canons fassent germer les mimosas