Freelipilistyle 10 ans by Gal Faye Lyrics
Je cherche le miracle mais je ne trouve que du trivial
J'ai cherché mon oracle mais je n'ai trouvé qu'un rival
Paraphraser son coeur c'est le foutre dans l'étau
Si le coeur est le moteur il y a de la fumée sous le capot
A vivre sous l'orage je ne sais que faire de l'azur
Une fois cicatrisé devrais-je faire pousser des blessures
Si je vide mon sac j'irais taper dans le vent
Et comme l'arbre dans la plaine je repousserais obstinément
Ecrire des textes, c'est enterrer des cadavres
Difficle vu le contexte comme la Palestine sur le cadastre
J'veux pas tourner la page, non, je referme le livre
Eduquer ma rage, lui enseigner à devenir libre
J'reprends du service, je vais chauffer la feuille blanche
Ouvrir de nouvelles pistes, affuter mon éloquence
Je reprends du début, je déconstruis, je désapprends
Les phrases pour le moment sont cachées dans ma tête, je les attends..
Dix ans, dix ans, dix ans, dix ans
Souvent j'ai perdu pied mais je remercie les miens
J'ai fait de mes larmes de l'art, dixit un empereur éthiopien
Tout ça est impudique comme de se produire en public
D'où vient cette maladie de nous déverser en musique?
Excusez moi famille si des fois j'en dis un peu trop
J'ai remodelé ma vie avec ces mots que je pétris
Peu importe le bonheur si je ne trouve pas le sens
Notre monde sommeil par manque d'imprudence
Merci grand Jacques pour cette grande phrase ressassée
Que j'ai prise à mon compte pour essayer d'avancer
Pour enfin briser mes putains d'déterminismes
Les esclaves affranchis se reléveront de tout séisme
J'avais des scènes de vies tatouées sous la paupière
Qu'il fallait que je libère pour leur faire prendre la lumière
Ce fut l'album des choix décisifs de ma vie
J'ai refermé une décennie au gout du pili pili
Dix ans, dix ans, dix ans, dix ans
J'ai cherché mon oracle mais je n'ai trouvé qu'un rival
Paraphraser son coeur c'est le foutre dans l'étau
Si le coeur est le moteur il y a de la fumée sous le capot
A vivre sous l'orage je ne sais que faire de l'azur
Une fois cicatrisé devrais-je faire pousser des blessures
Si je vide mon sac j'irais taper dans le vent
Et comme l'arbre dans la plaine je repousserais obstinément
Ecrire des textes, c'est enterrer des cadavres
Difficle vu le contexte comme la Palestine sur le cadastre
J'veux pas tourner la page, non, je referme le livre
Eduquer ma rage, lui enseigner à devenir libre
J'reprends du service, je vais chauffer la feuille blanche
Ouvrir de nouvelles pistes, affuter mon éloquence
Je reprends du début, je déconstruis, je désapprends
Les phrases pour le moment sont cachées dans ma tête, je les attends..
Dix ans, dix ans, dix ans, dix ans
Souvent j'ai perdu pied mais je remercie les miens
J'ai fait de mes larmes de l'art, dixit un empereur éthiopien
Tout ça est impudique comme de se produire en public
D'où vient cette maladie de nous déverser en musique?
Excusez moi famille si des fois j'en dis un peu trop
J'ai remodelé ma vie avec ces mots que je pétris
Peu importe le bonheur si je ne trouve pas le sens
Notre monde sommeil par manque d'imprudence
Merci grand Jacques pour cette grande phrase ressassée
Que j'ai prise à mon compte pour essayer d'avancer
Pour enfin briser mes putains d'déterminismes
Les esclaves affranchis se reléveront de tout séisme
J'avais des scènes de vies tatouées sous la paupière
Qu'il fallait que je libère pour leur faire prendre la lumière
Ce fut l'album des choix décisifs de ma vie
J'ai refermé une décennie au gout du pili pili
Dix ans, dix ans, dix ans, dix ans