Crépuscule by Farhan Lyrics
CrépusculeQui, qui, qui
Qui peut prétendre, qui
Connaître ma vie ?
Qui peut prétendre, qui
Connaître mes nuits ?
Qui, qui, qui
Chimères éphémères ont fait vivre mon cœur
Durant ces mille nuits où s'est vidé mon corps
Être d'amour malheureux, condamné à la Mort
Ce vécu me noie dans des larmes d'alligator
L'attente est longue, éternelle mélancolie
Bercée par les typhons, mon âme s’évanouie
L'organe surgelé, les Passions m'ont tout pris
Que ma plume l’ai écrit est déjà inouï.
Las, l'Enfer m'ouvre ses portes,
L'Espoir piétiné sur le seuil.
Les Étoiles glacées m'ont lâché,
Mon Odyssée perd ses feuilles.
Planté là, ce sont les Fleurs du Mal que je cueille
Amour rend aveugle, borgne, j'ai perdu un œil.
Tous les jours je me rends compte que la Paix est une lutte.
Que le Mépris s'envole quand le Bonheur est en chute.
Brute réalité du système qui nous mute.
Anciens humains on se perd quand l'Argent nous percute.FarhanTristes Utopies
Qui peut prétendre, qui
Connaître ma vie ?
Qui peut prétendre, qui
Connaître mes nuits ?
Qui, qui, qui
Chimères éphémères ont fait vivre mon cœur
Durant ces mille nuits où s'est vidé mon corps
Être d'amour malheureux, condamné à la Mort
Ce vécu me noie dans des larmes d'alligator
L'attente est longue, éternelle mélancolie
Bercée par les typhons, mon âme s’évanouie
L'organe surgelé, les Passions m'ont tout pris
Que ma plume l’ai écrit est déjà inouï.
Las, l'Enfer m'ouvre ses portes,
L'Espoir piétiné sur le seuil.
Les Étoiles glacées m'ont lâché,
Mon Odyssée perd ses feuilles.
Planté là, ce sont les Fleurs du Mal que je cueille
Amour rend aveugle, borgne, j'ai perdu un œil.
Tous les jours je me rends compte que la Paix est une lutte.
Que le Mépris s'envole quand le Bonheur est en chute.
Brute réalité du système qui nous mute.
Anciens humains on se perd quand l'Argent nous percute.FarhanTristes Utopies