Awan by Faraj Dewa Lyrics
[Couplet 1 : Waku]
Seule sous un ciel sans étoiles
Les builings en toile de fond
Sa pudeur lui sert de voile
Elle se laisse guider par les néons
Si facile de s'échapper
Avec les opiacées se dit-elle
La démarche non assurée
L'esprit fragile comme de la dentelle
[Couplet 2 : Waku]
Les néons des casinos éclairent son regard
Dans la moiteur de Macao elle se laisse guider par le bruit des bars
Seule à l'autre bout du monde
À deux doigts du syndrome de Diogène
Dans la foule elle fume une blonde
L'addiction lui sert d'oxygène
[Couplet 3 : Midnight Quake & Waku]
Ses rêves se sont consumés au contact des regards extérieurs
Elle a commencé à chuter dans l'indifférence et la froideur
Happée au fil des nuits par une ville qui n'a aucun regard
Pour ces âmes qui sont le fruit de son gigantesque et sombre brouillard
[Couplet 4 : Midnight Quake]
La nuit passe, elle aperçoit dans un mirage
Ses désirs, retrouve sa foi dérobée jadis par les nuages
Elle rattrape à chaque dose ses chimères qui fatalement s'éloignent
Pour enfin toucher la cause de son mal-être, de sa vie qui stagne
C'était son ultime écart
La dernière lueur dans ses iris
Ailes ont brûlé comme Icare
Fini par plonger dans les abysses
Seule sous un ciel sans étoiles
Les builings en toile de fond
Sa pudeur lui sert de voile
Elle se laisse guider par les néons
Si facile de s'échapper
Avec les opiacées se dit-elle
La démarche non assurée
L'esprit fragile comme de la dentelle
[Couplet 2 : Waku]
Les néons des casinos éclairent son regard
Dans la moiteur de Macao elle se laisse guider par le bruit des bars
Seule à l'autre bout du monde
À deux doigts du syndrome de Diogène
Dans la foule elle fume une blonde
L'addiction lui sert d'oxygène
[Couplet 3 : Midnight Quake & Waku]
Ses rêves se sont consumés au contact des regards extérieurs
Elle a commencé à chuter dans l'indifférence et la froideur
Happée au fil des nuits par une ville qui n'a aucun regard
Pour ces âmes qui sont le fruit de son gigantesque et sombre brouillard
[Couplet 4 : Midnight Quake]
La nuit passe, elle aperçoit dans un mirage
Ses désirs, retrouve sa foi dérobée jadis par les nuages
Elle rattrape à chaque dose ses chimères qui fatalement s'éloignent
Pour enfin toucher la cause de son mal-être, de sa vie qui stagne
C'était son ultime écart
La dernière lueur dans ses iris
Ailes ont brûlé comme Icare
Fini par plonger dans les abysses