Maison hantée by Euphonik Lyrics
[Couplet unique]
La peur au ventre, dans ma chambre, je chante, j’apprends à échouer
Mes souvenirs se démembrent, mon cœur est un coffre à jouets
On m’a trahis, on m’a taclé. Je garde le sourire, c'est le comble
Quand quelqu’un t’a pris la clé, dis moi comment t’ouvrir au monde ?
Je porte le poids de mon armure, le plus dur c’est de faire aller
Depuis que les oreilles ont des murs, jе ne sais plus trop à qui parler
J’ai besoin d’air, d’unе bouffée, je tourne en rond je fais les 100 pas
Avant sans toi j’étouffais, au fond j’ai tout fais sans toi
J’ai mis mon âme dans une boîte en verre, l’amour et ses vestiges, mais sans mes partenaires, je me dis à quoi bon les prestiges ?
J’en place une pour le F, les reufs auxquels je m’accroche, même si entre elles nos vies se greffent, la nuit me connaît mieux que mes proches
Tu peux toujours courir, le temps t’as déjà dépassé, tout finit par mourir, ici on ne fait que passer
Au fond ce qui m’emporte derrière cette immense porte qui se dresse, c’est pas ce que j’emporte, non, mais tout ce que je laisse
Tu penses me connaîtres, par la serrure je t’ai vu m’épier
C’est tellement brut que dans ma tête, je t’assure t’y mettrais pas les pieds
Seul, on est plus tranquille, même si les murs sont bien plus froid
Au sous sol, les corps s’empilent, qui sera le prochain sur le tas ?
Qui ?
Avec ou sans talent, je m'en tape, rien n'est perdu d’avance
J’ai été trop galant mais je laisserai plus passer ma chance
La vie m’a dit "reste en place, tu gagnes seulement quand la roue tourne
Fais tout pour leur faire face, deviens la montagne qu’ils contournent
Y a peu de lueurs quand tout s’effondre, faut que je me tire de cet enfer
J’ai plus peur de mon ombre que de tous ceux qui veulent m’en faire
Ils promettaient un futur, ils nous ont juste pris pour des cons, puisqu’ils ont bâtis des murs, là où il fallait des ponts
Je me suis perdu à l’intérieur, c’est dur de quitter son confort
J’ai besoin d’air, et d’ailleurs, de renaître un peu plus fort
Sur le bas de ma porte, la lumière vient m’effleurer
Tellement longtemps qu’on s'est pas vu, que le soleil en a pleuré
La peur au ventre, dans ma chambre, je chante, j’apprends à échouer
Mes souvenirs se démembrent, mon cœur est un coffre à jouets
On m’a trahis, on m’a taclé. Je garde le sourire, c'est le comble
Quand quelqu’un t’a pris la clé, dis moi comment t’ouvrir au monde ?
Je porte le poids de mon armure, le plus dur c’est de faire aller
Depuis que les oreilles ont des murs, jе ne sais plus trop à qui parler
J’ai besoin d’air, d’unе bouffée, je tourne en rond je fais les 100 pas
Avant sans toi j’étouffais, au fond j’ai tout fais sans toi
J’ai mis mon âme dans une boîte en verre, l’amour et ses vestiges, mais sans mes partenaires, je me dis à quoi bon les prestiges ?
J’en place une pour le F, les reufs auxquels je m’accroche, même si entre elles nos vies se greffent, la nuit me connaît mieux que mes proches
Tu peux toujours courir, le temps t’as déjà dépassé, tout finit par mourir, ici on ne fait que passer
Au fond ce qui m’emporte derrière cette immense porte qui se dresse, c’est pas ce que j’emporte, non, mais tout ce que je laisse
Tu penses me connaîtres, par la serrure je t’ai vu m’épier
C’est tellement brut que dans ma tête, je t’assure t’y mettrais pas les pieds
Seul, on est plus tranquille, même si les murs sont bien plus froid
Au sous sol, les corps s’empilent, qui sera le prochain sur le tas ?
Qui ?
Avec ou sans talent, je m'en tape, rien n'est perdu d’avance
J’ai été trop galant mais je laisserai plus passer ma chance
La vie m’a dit "reste en place, tu gagnes seulement quand la roue tourne
Fais tout pour leur faire face, deviens la montagne qu’ils contournent
Y a peu de lueurs quand tout s’effondre, faut que je me tire de cet enfer
J’ai plus peur de mon ombre que de tous ceux qui veulent m’en faire
Ils promettaient un futur, ils nous ont juste pris pour des cons, puisqu’ils ont bâtis des murs, là où il fallait des ponts
Je me suis perdu à l’intérieur, c’est dur de quitter son confort
J’ai besoin d’air, et d’ailleurs, de renaître un peu plus fort
Sur le bas de ma porte, la lumière vient m’effleurer
Tellement longtemps qu’on s'est pas vu, que le soleil en a pleuré