Amour turbulence by Euphonik Lyrics
Ai-je vraiment l’air brisé, soi disant au yeux des gens
Entendu le corps gisant, ne laissant qu’une nappe grisée
Le temps perd de sa couleurs, alors j’écris comme je l’entends
La plus fine et ses battements, qui frappe sur mes douleurs
Tous les jours sont mécaniques, j’aimerai briser mes chaîne
Mais j’suis pas ce genre de chien, a montrer ses canines
J’croirais en ma bonne étoile, même si elle paraît sombre
Même si elle paraît seule, même si elle paraît sale
Ma bête noir est par ici,elle sait très bien qui je suis
.En l’apparence, en l’occurrence, elle sait très bien qui je fuis
J’aurais pu mourir a l’aube, sans laisser aucune trace
Ne pas être comme les autres a travers le temps qui passe
« Vas-y passe, passe le oin-je », quand j’regarde la lune pleurer
Tenter le saut de l’ange derrière un écran d’fumée
J’ai compris qu’on ne s’aimait pas, a un détail près
On m’a traîné dans la boue depuis que l’amour est dans l’pré
D’entrée on m’a jugée, comme personne infréquentable
Pour ma couleur de peau, pour mon poids ou ma taille
Sans respect pour les autres, on n’es bon qu’a mépriser
C’est sur les droit de l’homme que l’homme s’est mit a pisser
Jusque qu’ici sans doute précis, j’ai vécu dans mes récit
Ai-je échoué comme une vague qui s’abat sur un récif
Et j’agis différemment, pour contrer différemment
Parlons de discernement, je regarde différemment
Mais a quoi bon changer une façon d’être ?
Tout dépend du point d’vue et comment on l’interprète
P’tetre qu’on est bon qu’a sa, et qu’on s’aime a se haïr
J’ai demandé l’amour, on m’a appris a trahir
Accompagné, j’parais seul, toute leurs qualités me pèse
L’amour est un puzzle où il manque toujours une pièce
Par défaut je ne voit que des peste sur la piste qui empeste
De la tise dans l’ivresse, te tape la bise ou la baise
Suis-je un cavalier sans tête qui s’entête a cavaler
En quête de conquête, on m’a dit t’a qu’a y aller
Retrouve ton cœur avant ta tête car tu sera ton seul allié
L’amour a ton époque, s’résume a avaler
De belles promesses, j’y crois plus
S’aimer est une méprise
La confiance j’lai pas perdu, ce sont elles qui me l’on prise
Suis-je devenu un poète, qui n’a même pas le bac ?
Moi je ne compte plus sur personne dites le a ma prof de math
Dites a ma prof de langue, de la tourner 7 fois
Et dites a mon prof d’histoire que l’histoire ne s’refais pas
Dites a ma prof de science que pour personne elle est infuse
Sur ce morceaux j’me confie, je rappe et j’accuse !
L’école ferme des portes, au lieu des les ouvrir
Les jeunes sont créatifs, vos méthodes les font mourir
Tout le monde ressemble a tout l’monde, alors c’est sa l’éducation
Apprendre a être un autre, et tuer la création !
J’incite personne a la quitter, je donne juste mon avis
J’dis juste c’est pas l’école qui décide de ma vie
Ce n’est pas vote ou vos quota qui définissent mon avenir
Le plus dur est derrière moi, le meilleurs reste a venir !
Ai-je vraiment l’air brisé, soi disant au yeux des gens
Entendu le corps gisant, ne laissant qu’une nappe grisée
Le temps perd de sa couleurs, alors j’écris comme je l’entends
La plus fine et ses battements, qui frappe sur mes douleurs
Entendu le corps gisant, ne laissant qu’une nappe grisée
Le temps perd de sa couleurs, alors j’écris comme je l’entends
La plus fine et ses battements, qui frappe sur mes douleurs
Tous les jours sont mécaniques, j’aimerai briser mes chaîne
Mais j’suis pas ce genre de chien, a montrer ses canines
J’croirais en ma bonne étoile, même si elle paraît sombre
Même si elle paraît seule, même si elle paraît sale
Ma bête noir est par ici,elle sait très bien qui je suis
.En l’apparence, en l’occurrence, elle sait très bien qui je fuis
J’aurais pu mourir a l’aube, sans laisser aucune trace
Ne pas être comme les autres a travers le temps qui passe
« Vas-y passe, passe le oin-je », quand j’regarde la lune pleurer
Tenter le saut de l’ange derrière un écran d’fumée
J’ai compris qu’on ne s’aimait pas, a un détail près
On m’a traîné dans la boue depuis que l’amour est dans l’pré
D’entrée on m’a jugée, comme personne infréquentable
Pour ma couleur de peau, pour mon poids ou ma taille
Sans respect pour les autres, on n’es bon qu’a mépriser
C’est sur les droit de l’homme que l’homme s’est mit a pisser
Jusque qu’ici sans doute précis, j’ai vécu dans mes récit
Ai-je échoué comme une vague qui s’abat sur un récif
Et j’agis différemment, pour contrer différemment
Parlons de discernement, je regarde différemment
Mais a quoi bon changer une façon d’être ?
Tout dépend du point d’vue et comment on l’interprète
P’tetre qu’on est bon qu’a sa, et qu’on s’aime a se haïr
J’ai demandé l’amour, on m’a appris a trahir
Accompagné, j’parais seul, toute leurs qualités me pèse
L’amour est un puzzle où il manque toujours une pièce
Par défaut je ne voit que des peste sur la piste qui empeste
De la tise dans l’ivresse, te tape la bise ou la baise
Suis-je un cavalier sans tête qui s’entête a cavaler
En quête de conquête, on m’a dit t’a qu’a y aller
Retrouve ton cœur avant ta tête car tu sera ton seul allié
L’amour a ton époque, s’résume a avaler
De belles promesses, j’y crois plus
S’aimer est une méprise
La confiance j’lai pas perdu, ce sont elles qui me l’on prise
Suis-je devenu un poète, qui n’a même pas le bac ?
Moi je ne compte plus sur personne dites le a ma prof de math
Dites a ma prof de langue, de la tourner 7 fois
Et dites a mon prof d’histoire que l’histoire ne s’refais pas
Dites a ma prof de science que pour personne elle est infuse
Sur ce morceaux j’me confie, je rappe et j’accuse !
L’école ferme des portes, au lieu des les ouvrir
Les jeunes sont créatifs, vos méthodes les font mourir
Tout le monde ressemble a tout l’monde, alors c’est sa l’éducation
Apprendre a être un autre, et tuer la création !
J’incite personne a la quitter, je donne juste mon avis
J’dis juste c’est pas l’école qui décide de ma vie
Ce n’est pas vote ou vos quota qui définissent mon avenir
Le plus dur est derrière moi, le meilleurs reste a venir !
Ai-je vraiment l’air brisé, soi disant au yeux des gens
Entendu le corps gisant, ne laissant qu’une nappe grisée
Le temps perd de sa couleurs, alors j’écris comme je l’entends
La plus fine et ses battements, qui frappe sur mes douleurs