Théorie du Chaos by Elom 20ce Lyrics
[Couplet Unique]
Dans le couloir de la mort, comment garder le silence ?
Je ne suis pas Eugenio Pacelli, j’ai pas de voix de miel, ni Andréa Bocelli, je chante le blues la gorge pleine d’abeilles comme les ruches et les Bois d’ébène
Paul Ahyi m’a dit, « il faut lutter pour la vraie indépendance », mais c’est grave. C’est la décadence
Des déserts et des ruines. Des tombeaux sur les routes, la cécité intellectuelle à outrance
Les Négros dansent dans les corners comme Roger Mila
Laissent pousser les dreads pour charmer les Mona Lisa
Car dans leur chatte le pouvoir d’achat et ces passeports qui assassinent les frontières, tu saisis le plan ?
Dis-moi la différence entre un Dreadlocks et un Rasta
Nos policiers et les mendiants. C’est l’uniforme qui angoisse la plèbe
Le pouvoir est au bout du fusil, la pauvreté dans la réflexion
Divisé comme l’UFC ou l’ANC on crache des flammes comme Julius Malema
Le silence dans le plat, les bruits dans le ventre, j’écoute mon cœur battre au rythme dans tam-tam et des pluies de balles
La politique africaine c’est comme la vieillesse
Elle nous réserve des surprises comme Gilchrist Olympio. Ce dont je te parle c’est comme voir ton pater pleurer, ta mater se prostituer et ton frère se camer
Mais y’a pire tchale, imagine ta sœur qui perd sa vie en la donnant. C’est grave écœurant
Pleure pas, que ces lignes essuient tes larmes, te consolent loin de tout ce vacarme
De la traite des Noirs, à la loterie visa, du cache-sexe au string, le vieux nègre a perdu sa médaille
Aventure ambigüe sous un ciel lugubre, une vie de boy dans une nuit sans étoiles. Les portes du nord sont closes comme ces maisons qui peuplent nos villes
Dieu est mort parait-il, ils l’ont kill
Marlich on a la foi, Marlich, Marlich on a la foi
L’Afrique porte sa croix attend la rose et moi je crois que leurs loges ne résisteront pas aux pendules de l’horloge
Je reste franc pas comme les ingénieurs en bâtiment qui dirigent nos Etats
Le chaos précède la construction, c’est ma théorie
En entendant je brûle mes démons comme mes calories
Écorche-les comme jadis dans les galeries, le hasard n’existe pas oooh
Le chaos précède la construction, c’est ma théorie
En entendant je brûle mes démons comme mes calories
Écorche-les comme jadis dans les galeries, le hasard n’existe pas, j’en suis la preuve vivante
(Musique)
Dans le couloir de la mort, comment garder le silence ?
Je ne suis pas Eugenio Pacelli, j’ai pas de voix de miel, ni Andréa Bocelli, je chante le blues la gorge pleine d’abeilles comme les ruches et les Bois d’ébène
Paul Ahyi m’a dit, « il faut lutter pour la vraie indépendance », mais c’est grave. C’est la décadence
Des déserts et des ruines. Des tombeaux sur les routes, la cécité intellectuelle à outrance
Les Négros dansent dans les corners comme Roger Mila
Laissent pousser les dreads pour charmer les Mona Lisa
Car dans leur chatte le pouvoir d’achat et ces passeports qui assassinent les frontières, tu saisis le plan ?
Dis-moi la différence entre un Dreadlocks et un Rasta
Nos policiers et les mendiants. C’est l’uniforme qui angoisse la plèbe
Le pouvoir est au bout du fusil, la pauvreté dans la réflexion
Divisé comme l’UFC ou l’ANC on crache des flammes comme Julius Malema
Le silence dans le plat, les bruits dans le ventre, j’écoute mon cœur battre au rythme dans tam-tam et des pluies de balles
La politique africaine c’est comme la vieillesse
Elle nous réserve des surprises comme Gilchrist Olympio. Ce dont je te parle c’est comme voir ton pater pleurer, ta mater se prostituer et ton frère se camer
Mais y’a pire tchale, imagine ta sœur qui perd sa vie en la donnant. C’est grave écœurant
Pleure pas, que ces lignes essuient tes larmes, te consolent loin de tout ce vacarme
De la traite des Noirs, à la loterie visa, du cache-sexe au string, le vieux nègre a perdu sa médaille
Aventure ambigüe sous un ciel lugubre, une vie de boy dans une nuit sans étoiles. Les portes du nord sont closes comme ces maisons qui peuplent nos villes
Dieu est mort parait-il, ils l’ont kill
Marlich on a la foi, Marlich, Marlich on a la foi
L’Afrique porte sa croix attend la rose et moi je crois que leurs loges ne résisteront pas aux pendules de l’horloge
Je reste franc pas comme les ingénieurs en bâtiment qui dirigent nos Etats
Le chaos précède la construction, c’est ma théorie
En entendant je brûle mes démons comme mes calories
Écorche-les comme jadis dans les galeries, le hasard n’existe pas oooh
Le chaos précède la construction, c’est ma théorie
En entendant je brûle mes démons comme mes calories
Écorche-les comme jadis dans les galeries, le hasard n’existe pas, j’en suis la preuve vivante
(Musique)