N° La Mousse by Eddy Woogy Lyrics
[Couplet 1 : Dico]
J’ai loupé tant d’choses mais pas l’temps
Ah ça nan
Des couplets grandioses, épatants
J’ai saigné
J’ai l’toupet sans Glock et j't’attends sur scène
J’t’écouterai sans doute en m’grattant le zen
L’égotrip est dark, j’ai compris, mais l'mic'
Dès qu’on s’y met sale, c’est pas docile et calme
J’trace ma route
Et ça sonne jazz avoue
J’égosille les femmes en voguant sur les flots
Appelle-moi capitaine Jack Sparrow
J’aime les gags farouches
J’veux bien v’nir à ton clip
Mais il paraît qu’il faut absolument ram’ner des shrabs karlouches ?
Espèce d’enfant, j’te quèn' dans l’temps, danse le french cancan
Quand j’te baise, t'entends ?
T'écoutes mon son sexe bombé, verge gonflée
J’manie la plume selon les bénéfices escomptés
Et les p’tites pestes sont vertes, j'rends électrique même ton père
Ma 'zique a plus d’adultère en poche qu’un ex-plombier
[Couplet 2 : Ilénazz]
Si tu penses que l’rap est un jeu d’enfant, appelle-moi Chucky
Qu’ils s’bouffent entre eux, j’arriverai à la fin comme Churchill
J’fais pas d’la musique pour exciter les petites minettes
Pourtant j’rappe comme j’fais l’amour : j’ai négligé les préliminaires
C’est qui ce type ? Fais pas c’te tête
Quand j’prends l’mic, tu t’chies d’ssus comme un Razmoket
Oh mec t’es tendu comme l’atmosphère
En cas d’problème, j’te marque au fer
Comme Marjolaine chez Marc Dorcel
Ok, tu voulais percer, survivre dans l’top ten
Les com’, les critiques, les subir sans trop d’peine
Tu vis dans ton rêve et ça, c’est insuffisant
T’es sur l’divan comme Barbie, j’suis un survivant comme Ken
T’as tout à apprendre alors bâtard te la joue pas
Rapper c’est pas un crime, t'es l'prochain cadavre de Masuka
J’te marque au fer ou avec une patate dans la joue droite
Mon rap est plein d’sarcasmes, le tien est fatal comme Bazooka
[Couplet 3 : Lucio Bukowski]
Rien à branler de Virgin et de la Fnac depuis qu'j'connais Paypal
Paraît qu’ton crew veut test ? Un p’tit conseil : me loupez pas
Indépendant pendant qu’ils jouent aux vrais sur Canal Street
Le rap est moitié Jivaro vu l’nombre de têtes réduites
Pour être honnête, dans votre milieu j’étouffe
Plus de rimes en stock que d'mains au cul dans une soirée mousse
Comme un oncle bourré en fin d’repas : je nique ta fête
Te décapite et pète un beat et puis j’exhibe ta tête
Plus j’vous écoute et moins j’en sais
Bla bla bla, bla bla bla, bla bla bla #RapFrançais
Yo, t’as beau t’exciter comme un Rom ivre
Écouter du rap conscient n’f’ra pas d’toi un homme libre
J’préfère Clouscard à tous vos faux semblants
Vous êtes moins subversifs que des libéraux blancs
Quand j’débarque les bookmakers ne prennent plus d’paris
J’crève l’écran avec mes animaux comme Daktari
[Couplet 4 : Na.K]
Niez mon talent : j'serai comme Taz, j’en ai des bras d’pute
Quand tu tues comme une ballerine. Est-ce que j’ressemble à Brad Pitt ?
Sarko est-il un brave type ? Donc mets l’son et c’est reparti
Même à heure tardive, Na.K recharge les batteries
Artiste anti bad trip, battant mais qui frime pas
C’est d’l’ivresse, ça t’enivre parce qu’il a pas d’fric
Pars au quart d’tour sans caprice
Quand il s’agit d’mettre la trique
Aux gens en quête de flatteries pour un mateur à matrice
Aussi vrai que "pas vu, pas pris", mon son est lourd
Comme l’artillerie. J’suis d’dans et imprégné
Comme l’olive dans l’Martini. Ouais les rimes j’les martyrise
En selle pour chevaucher l’beat, sur scène pour être card-tri
MC mets-toi à l’abri si un jour ton rap est bon
À coup sûr c’est l’Premier Avril, tu saoules plus que ...
Pour rien déplace des masses d’air, mets-toi donc en ménopause
Ou parle pour m’appeler iceberg
[Couplet 5 : Cidji]
Oubliez les JO, en route pour l’Grammy Awards
Quoi, je rêve moi, j’crois qu’j’ai un 'blème mais pas grave, j’trace
Tout droit et massacre les beats à Lapwass
Fat ou pas, CDK t'éclavate la face
Déterminé à faire taire ces cons hypocrites
Oh, j’sais qu’tu kiffes donc : c’est quoi le hic ?
Explicite, hey oh, j’m’entête quand j’te taille d’ailleurs
J’pardonne plus les salopes, allez plutôt causer ailleurs
Finie l’époque, bye femmes mates aux gros bavoules
J’attaque plus tout c'qui bouge, j’en veux qu’une si elle froisse
Droite et clean envers oim', j’crains qu'l’époque et notre instinct
Veut toujours plus et s’contente plus d’une dose à la fois
Fuck tiens, la jalousie j’sais qu’ça ténerve
Fuck tiens, tu m'souris en te mordant les lèvres
Fuck tiens, c’est triste à dire mais c’est ça qui m’réveille
Cidji, style funky, typique des lyonnais
[Couplet 6 : Nadir]
Tant qu’à faire, autant pas taffer, mieux vaut plutôt fuir
La patate de se contenter d’une vie patafoin
Entre autres, peu teuffeur, pantouflard qui s’embête au fond
Et qui pointe un fuck s’il aime pas ta face
Tous leurs héros n’ont qu’à mourir et pour le peu d’ironie qu’il me reste
J’irai niquer Mesrine et prendre l’horloge d’Hiro Nakamura
En tout cas, tant que tous mes slaloms entre tic et tac
Ne seront pas freinés par un schéma qui veut m’étiqueter
Marre de lire en une "Suprêmes sont dollar et yen"
J’m’en bats les cacahuètes, je veux de l’or et une DeLorean
Tenir un bordel à Rio, contrôler l’pétrole à Riyad
Baiser le Monde, lui-même se cloître entre douleur et haine
J’ai plus de flow qu'le commerce bananier
J’ai beau ne naviguer que par la rame, ce n’est même pas la mienne
Entouré de nada, complétement dénudé
Pour côtoyer les vrais requins pas les p’tites frappes qui viennent se chamailler
Moi, j’suis c’gars douteux comme ma rime précédente
Avant je haïssais les gens, maintenant c’est encore pire
Ouais, j’aime pas trop les grands
Mets ça sur l’compte de mon arborescence
Ou sur l’ingratitude de mon adolescence
J'bois du coca et ma pisse est jaune mais c’est passager
J’ai du temps mais j’suis plus si jeune, j’y avais pas songé
J’ai loupé tant d’choses mais pas l’temps
Ah ça nan
Des couplets grandioses, épatants
J’ai saigné
J’ai l’toupet sans Glock et j't’attends sur scène
J’t’écouterai sans doute en m’grattant le zen
L’égotrip est dark, j’ai compris, mais l'mic'
Dès qu’on s’y met sale, c’est pas docile et calme
J’trace ma route
Et ça sonne jazz avoue
J’égosille les femmes en voguant sur les flots
Appelle-moi capitaine Jack Sparrow
J’aime les gags farouches
J’veux bien v’nir à ton clip
Mais il paraît qu’il faut absolument ram’ner des shrabs karlouches ?
Espèce d’enfant, j’te quèn' dans l’temps, danse le french cancan
Quand j’te baise, t'entends ?
T'écoutes mon son sexe bombé, verge gonflée
J’manie la plume selon les bénéfices escomptés
Et les p’tites pestes sont vertes, j'rends électrique même ton père
Ma 'zique a plus d’adultère en poche qu’un ex-plombier
[Couplet 2 : Ilénazz]
Si tu penses que l’rap est un jeu d’enfant, appelle-moi Chucky
Qu’ils s’bouffent entre eux, j’arriverai à la fin comme Churchill
J’fais pas d’la musique pour exciter les petites minettes
Pourtant j’rappe comme j’fais l’amour : j’ai négligé les préliminaires
C’est qui ce type ? Fais pas c’te tête
Quand j’prends l’mic, tu t’chies d’ssus comme un Razmoket
Oh mec t’es tendu comme l’atmosphère
En cas d’problème, j’te marque au fer
Comme Marjolaine chez Marc Dorcel
Ok, tu voulais percer, survivre dans l’top ten
Les com’, les critiques, les subir sans trop d’peine
Tu vis dans ton rêve et ça, c’est insuffisant
T’es sur l’divan comme Barbie, j’suis un survivant comme Ken
T’as tout à apprendre alors bâtard te la joue pas
Rapper c’est pas un crime, t'es l'prochain cadavre de Masuka
J’te marque au fer ou avec une patate dans la joue droite
Mon rap est plein d’sarcasmes, le tien est fatal comme Bazooka
[Couplet 3 : Lucio Bukowski]
Rien à branler de Virgin et de la Fnac depuis qu'j'connais Paypal
Paraît qu’ton crew veut test ? Un p’tit conseil : me loupez pas
Indépendant pendant qu’ils jouent aux vrais sur Canal Street
Le rap est moitié Jivaro vu l’nombre de têtes réduites
Pour être honnête, dans votre milieu j’étouffe
Plus de rimes en stock que d'mains au cul dans une soirée mousse
Comme un oncle bourré en fin d’repas : je nique ta fête
Te décapite et pète un beat et puis j’exhibe ta tête
Plus j’vous écoute et moins j’en sais
Bla bla bla, bla bla bla, bla bla bla #RapFrançais
Yo, t’as beau t’exciter comme un Rom ivre
Écouter du rap conscient n’f’ra pas d’toi un homme libre
J’préfère Clouscard à tous vos faux semblants
Vous êtes moins subversifs que des libéraux blancs
Quand j’débarque les bookmakers ne prennent plus d’paris
J’crève l’écran avec mes animaux comme Daktari
[Couplet 4 : Na.K]
Niez mon talent : j'serai comme Taz, j’en ai des bras d’pute
Quand tu tues comme une ballerine. Est-ce que j’ressemble à Brad Pitt ?
Sarko est-il un brave type ? Donc mets l’son et c’est reparti
Même à heure tardive, Na.K recharge les batteries
Artiste anti bad trip, battant mais qui frime pas
C’est d’l’ivresse, ça t’enivre parce qu’il a pas d’fric
Pars au quart d’tour sans caprice
Quand il s’agit d’mettre la trique
Aux gens en quête de flatteries pour un mateur à matrice
Aussi vrai que "pas vu, pas pris", mon son est lourd
Comme l’artillerie. J’suis d’dans et imprégné
Comme l’olive dans l’Martini. Ouais les rimes j’les martyrise
En selle pour chevaucher l’beat, sur scène pour être card-tri
MC mets-toi à l’abri si un jour ton rap est bon
À coup sûr c’est l’Premier Avril, tu saoules plus que ...
Pour rien déplace des masses d’air, mets-toi donc en ménopause
Ou parle pour m’appeler iceberg
[Couplet 5 : Cidji]
Oubliez les JO, en route pour l’Grammy Awards
Quoi, je rêve moi, j’crois qu’j’ai un 'blème mais pas grave, j’trace
Tout droit et massacre les beats à Lapwass
Fat ou pas, CDK t'éclavate la face
Déterminé à faire taire ces cons hypocrites
Oh, j’sais qu’tu kiffes donc : c’est quoi le hic ?
Explicite, hey oh, j’m’entête quand j’te taille d’ailleurs
J’pardonne plus les salopes, allez plutôt causer ailleurs
Finie l’époque, bye femmes mates aux gros bavoules
J’attaque plus tout c'qui bouge, j’en veux qu’une si elle froisse
Droite et clean envers oim', j’crains qu'l’époque et notre instinct
Veut toujours plus et s’contente plus d’une dose à la fois
Fuck tiens, la jalousie j’sais qu’ça ténerve
Fuck tiens, tu m'souris en te mordant les lèvres
Fuck tiens, c’est triste à dire mais c’est ça qui m’réveille
Cidji, style funky, typique des lyonnais
[Couplet 6 : Nadir]
Tant qu’à faire, autant pas taffer, mieux vaut plutôt fuir
La patate de se contenter d’une vie patafoin
Entre autres, peu teuffeur, pantouflard qui s’embête au fond
Et qui pointe un fuck s’il aime pas ta face
Tous leurs héros n’ont qu’à mourir et pour le peu d’ironie qu’il me reste
J’irai niquer Mesrine et prendre l’horloge d’Hiro Nakamura
En tout cas, tant que tous mes slaloms entre tic et tac
Ne seront pas freinés par un schéma qui veut m’étiqueter
Marre de lire en une "Suprêmes sont dollar et yen"
J’m’en bats les cacahuètes, je veux de l’or et une DeLorean
Tenir un bordel à Rio, contrôler l’pétrole à Riyad
Baiser le Monde, lui-même se cloître entre douleur et haine
J’ai plus de flow qu'le commerce bananier
J’ai beau ne naviguer que par la rame, ce n’est même pas la mienne
Entouré de nada, complétement dénudé
Pour côtoyer les vrais requins pas les p’tites frappes qui viennent se chamailler
Moi, j’suis c’gars douteux comme ma rime précédente
Avant je haïssais les gens, maintenant c’est encore pire
Ouais, j’aime pas trop les grands
Mets ça sur l’compte de mon arborescence
Ou sur l’ingratitude de mon adolescence
J'bois du coca et ma pisse est jaune mais c’est passager
J’ai du temps mais j’suis plus si jeune, j’y avais pas songé